AVI CONSEIL

Les découvertes en neurosciences nous permettent de comprendre comment l'enfant se développe, les mécanismes neurologiques qui se mettent en œuvre dans la mise en place des différents apprentissages, et comment l’enfant fait face aux émotions au quotidien… Forts de ces connaissances nouvelles, le professionnel de la petite enfance pourra favoriser l’éveil des jeunes enfants et des bébés en adaptant et en faisant évoluer ses pratiques en matière d’accompagnement, d’aménagement et de propositions… Ainsi, répondre aux besoins de sécurité affective, et physique dans le respect de des possibilités en lien avec l'immaturité cérébrale du jeune enfant.

Le risque professionnel est la possibilité pour un salarié d'être exposé à un éventuel danger dans l'exercice de son activité professionnelle et d'en subir les effets nocifs pour sa santé physique et mentale. Nous distinguons les risques physiques et les risques psychosociaux.

Prendre soin du jeune enfant, c’est l’accompagner tout au long de la journée et répondre à ses besoins fondamentaux. Une des missions du professionnel-le de la petite enfance est de lui proposer des repas équilibrés, lui permettre de découvrir de nouveau gout, l’impliquer dans la préparation et la prise de repas. Le jeune enfant va devenir autonome. Ce temps du repas est aussi un moment d’apprentissage de la vie sociale avec les autres enfants et les adultes qui l’entourent. La formation permettra au professionnel-le d’actualiser ses connaissances sur l’alimentation du jeune enfant et l’accompagnent dans ses découvertes de ce temps quotidien. Module lié au parcours Bloc 3 CAP AEPE et Bloc 8 titre AM/GE

L’enfant accueilli en structure ou à domicile a besoin d’être accompagné, sécurisé et soutenu tout au long de la journée. Il va construire son autonomie à chaque moment clé de sa journée : le temps de repas, le temps de la sieste et le temps du change (l’hygiène en général). Une des missions des professionnelles consiste à organiser la journée et prendre toutes les mesures possibles pour que l’enfant soit acteur de ces moments quotidiens. La professionnelle doit aussi être en capacité d’identifier les signes qui alerteront sur l’état de santé altéré de l’enfant.