Quali V Communication - Recherche et Formation

Comment introduire la médiation poupée empathie dans son établissement ? À quels résidents les séances s’adressent-elles et comment les animer ? Groupe ou individuel ? Comment présenter le projet ?

Le monde de communication du jeune enfant de 0 à 3 ans est basé sur le corporel. Ce fonctionnement est bien différent de celui de l’adulte ! Comment ce dernier peut-il prendre en compte, accompagner, s’adapter à tous les aspects de communication de l’enfance qui passent par les émotions, les gestes, les comportements ?

Les émotions ont une place centrale dans la communication du jeune enfant. Celles-ci lui permettent de manifester ses besoins, d’intégrer les différentes stimulations auxquelles il est soumis au cours d’une journée, de s’adapter aux situations. Pour cela, les émotions de l’enfant ont besoin d’être entendues, nommées, respectées, accompagnées et mises en mots. Les émotions du jeune enfant ont parfois un caractère bruyant et dérangeant qui nécessite chez le professionnel de développer un certain savoir-faire.

Pourquoi le stress est-il si présent dans notre société ? Pourquoi parle-t-on autant du stress de nos jours ? De nombreux facteurs viennent amplifier ou diminuer notre stress vécu et notre stress perçu. Repérer les facteurs auxquels nous sommes soumis et les marges de manœuvre dont nous disposons par rapport à ce stress est une étape essentielle. Elle ouvre dans un deuxième temps sur la construction de sa boîte à outils pour agir sur son stress. Et la dimension de dialogue intérieur, de communication avec soi-même prend une place importante.

Le concept de stimulation sensorielle se développe de plus en plus. La proposition Snoezelen s’inscrit dans le fonctionnement de l’enfant : celui de la découverte. Pour les adultes accompagnateurs il a de nombreux intérêts, notamment celui d’aider au développement de l’enfant et celui de favoriser la qualité de vie au travail.

La période de la petite enfance confronte à beaucoup de frustration. L’envie de réaliser des choses et de se faire comprendre est présente chez l’enfant alors qu’il n’en a pas encore toutes les compétences. Proposer d’utiliser les capacités d’imitation et de réalisation de petits gestes en correspondance avec son niveau de développement sont d’une grande utilité pour permettre aux bébés d’interagir avec son environnement et de se sentir compétents.

L’alimentation chez le jeune enfant constitue un champ d’expérimentation sur lequel s’étayent des bases de communication, de relation et d’affectivité. Les comportements alimentaires des jeunes enfants sont très sensibles au contexte et à leur environnement. De plus, les goûts et les envies de manger des enfants varient en permanence. Ainsi, le rapport à l’alimentation est très facilement remanié au cours la toute petite enfance ce qui peut parfois rendre perplexe les parents et les professionnels. Un enfant qui mange peu c’est stressant et peu valorisant ! Dans ce domaine, les représentations et les connaissances sont en constant remaniement. Les professionnels ont besoin d’avoir des points de repère concernant les âges d’introduction des aliments et la compréhension du rapport à l’alimentation du jeune enfant, mais aussi par rapport aux nombreuses dimensions engagées dans l’alimentation (sensorialité et découverte, compétences motrices et praxiques, dimension relationnelle et psychologique, enjeux de communication, éducatif et culturel). L’alimentation est un sujet à aborder avec les familles, la vie en collectivité pouvant être très différente de la vie à la maison. Il s’agit alors pour le professionnel de repérer les besoins des parents et de savoir communiquer sur ce sujet.

L'approche multi sensorielle de type Snoezelen est apparue en France dans les années 80-90. L’approche Snoezelen se développe dans différents contextes relationnels et ces dernières années elle prend place en crèche. Cet atelier d'une demi-journée offre une initiation au concept Snoezelen. Il permet de préciser comment un tel dispositif peut prendre place dans la crèche en soulevant différentes questions : le matériel, l'espace, l'intérêt des séances…

Snoezelen propose une autre manière de communiquer bien utile avec les personnes âgées en difficulté de communication et présentant des troubles cognitifs, mais aussi dans toute situation où l’on cherche à favoriser la relation. Il est souvent difficile de faire vivre un projet Snoezelen dans son établissement : avoir un pilote de projet sera d’une grande aide.

Les moments d’échanges et de transmissions des professionnels avec les parents sont des moments importants, informels et chargés de différents enjeux : séparation et retrouvailles et pour chaque interlocuteur trouver sa place dans la communication. Comment construire un lien de confiance dans la relation avec les parents ? Comment favoriser la parentalité ? Quelles informations transmettre ? Quels mots utiliser ? …

La maladie d’Alzheimer et maladies apparentées modifie les compétences cognitives de la personne. Celle-ci fait face à des difficultés de mémoire, de langage, d’analyse, de structuration de sa pensée, de reconnaissance des choses et des personnes, de l’organisation de ses gestes. Toutes ces perturbations impactent sa communication et ses relations avec son entourage. Il devient alors difficile pour les aidants naturels ou professionnels de savoir comment accompagner la personne. Comment savoir si elle comprend ? Comment se faire comprendre ? Comment favoriser une bonne communication ? Quelles stratégies utiliser ? Comment décoder les messages verbaux et non verbaux ? Comment éviter de favoriser des troubles du comportement grâce à la communication ?

La période de développement de 0 à 3 ans est celle où l’enfant intègre le plus grand nombre d’acquisitions fondamentales. À cet âge, les différences interindividuelles sont très importantes. Tous les enfants ne progressent pas au même rythme, ni dans tous les domaines en même temps. L’observation de l’enfant permet son suivi et l’ajustement de son accompagnement. Comment optimiser ses observations ? Quel est l’intérêt de créer une grille d’observation ? Chez l’enfant, quelle est la différence entre prendre son temps et présenter un retard de développement ? À partir de quand doit-on s’inquiéter ? En plus de répondre à ces questions cette formation ouvre une réflexion sur les enjeux de la transmission des questionnements concernant le développement de l’enfant en équipe et auprès des parents.

L’approche multi sensorielle de type Snoezelen est apparue en France dans les années 80-90. L’approche Snoezelen se développe dans différents contextes relationnels et ces dernières années elle prend place en crèche. La proposition Snoezelen s’inscrit dans le fonctionnement de l’enfant : celui de la découverte. Pour les adultes accompagnateurs il a de nombreux intérêts, notamment celui d’aider au développement de l’enfant et celui de favoriser la qualité de vie au travail.

Le métier de psychomotricien n’est pas aisé à définir. Les participants seront invités à construire une présentation de leur profession et à élaborer des stratégies de communication afin de faciliter la transmission des apports psychomoteurs aux familles ou aux équipes.

Les professionnels de la crèche observent différentes attitudes éducatives et positionnement dans la relation des parents vis-à-vis de leur enfant. Ce n’est pas toujours facile de se situer dans la diversité des manières de faire. Chaque parent fait un peu ce qu’il peut dans la communication avec son enfant. Avec l’éducation positive, Internet, les méthodes éducatives actuelles les parents peuvent être en demande de points de repère, alors quelles attitudes adopter pour leur répondre ?

Le monde de l’enfance est un univers de découverte, d’expérimentation, de jeux. Le jeu a une place particulière dans la construction affective, identitaire et sociale de l’enfant. L’adulte peut accompagner le jeu de l’enfant de différentes manières : en l’observant, en favorisant le jeu entre paires, en offrant un espace de jeu libre ou encore en jouant avec l’enfant. Le jeu peut aussi être un très bon outil pour accompagner l’enfant dans les moments de transition ainsi que dans les temps de gestion de groupe.

« Il y a un problème de communication ! » Que cache cette phrase si souvent entendue concernant le travail d’équipe ou le fonctionnement institutionnel ? Certes, il s’agit de faire passer des informations, mais l’enjeu sous-jacent concerne surtout l’art de savoir construire la communication ensemble.

Comment savoir si la personne comprend ? Comment se faire comprendre ? Comment favoriser une bonne communication ? Quelles stratégies utiliser ? Comment décoder les messages verbaux et non verbaux ? Comment éviter de favoriser des troubles du comportement grâce à sa communication ? C’est à toutes ces questions que cette formation cherche à répondre.

La vie en établissement gérontologique peut générer des inquiétudes chez les résidents. Des manifestations de peur, d’anxiété et d’angoisse sont courantes, de manière généralisée ou à certains moments de la journée ou encore lors de certains soins. Les soignants doivent régulièrement rassurer les résidents. Mais comment faire, quelles sont les attitudes à adopter, quels sont les mots à utiliser ? Comment évaluer ces manifestations et organiser une réflexion collective sur les manières de rassurer les résidents ?